Les fêtes sont terminées....la reprise est toujours un peu brutale. Je parle là de reprise du boulot et du train-train habituel car au niveau sportif, ma semaine de vacances a été plutôt active.
Mon GPS me dit (très content de lui) que j'ai parcouru 60 km entre le 29 décembre et le 4 janvier.
Il est vrai que cette année, pendant ces quelques jours pleins de tensions familiales, j'ai couru....
Tous les matins (ou presque), pendant que tout le monde dormait, j'ai affronté l'air froid et piquant, me rappelant à chaque foulée que j'étais toujours bien vivant.
Et c'est assez nouveau, ce rituel matinal que j'ai instauré lorsque je pars dans ma famille ou celle de ma femme. Cette plage horaire (entre 8 et 10h), elle est pour moi....rien que pour moi.
Je peux déambuler, dans les rues peu fréquentées à cette heure d'une petite ville près de Bordeaux (Carbon Blanc la belle endormie), avec mon coupe-vent bleu électrique et mon bonnet jaune.
Je croise quand même 2 ou 3 autres joggers sympathiques, me saluant au passage (ben oui on est pas à Toulouse là).
Et je peux me décharger, pendant ces moments là de beaucoup de choses qui m'encombrent. Je vide le trop-plein, je vidange, je filtre la machine...et surtout mon cerveau.
J'ai même découvert le Vidourle chez mon beau-frère, la semaine dernière, et ses berges (vers Marsillargues la majestueuse). Je n'ai pas croisé de coureurs à pied mais des chasseurs arborant leur magnifique casquette orange fluo. Du coup, moi avec mon bonnet jaune (offert par ma belle-mère) je me sentais bien, je pouvais me fondre dans le décor. Il me manquait juste le fusil.
Et le moment de grâce, je l'ai vécu lorsque ma petite nièce de 7 ans m'a accompagné, dans sa plus belle tenue de sport, très fière, sur 2 km. Une future runneuse, moi je vous le dis....
En tout cas j'ai quand même ressenti cette période de l'année, que j'appréhendais, de façon un peu plus détendue que d'habitude. Et Aujourd'hui, alors que je n'ai pas chaussé mes baskets depuis 2 jours, je commence à me sentir moins bien....
Ca n'est pas grave je sais que j'ai de belles courses en perspective ce mois-ci, dont je parlerai bientôt.
Demain, j'irai courir c'est sûr.
Mon GPS me dit (très content de lui) que j'ai parcouru 60 km entre le 29 décembre et le 4 janvier.
Il est vrai que cette année, pendant ces quelques jours pleins de tensions familiales, j'ai couru....
Tous les matins (ou presque), pendant que tout le monde dormait, j'ai affronté l'air froid et piquant, me rappelant à chaque foulée que j'étais toujours bien vivant.
Et c'est assez nouveau, ce rituel matinal que j'ai instauré lorsque je pars dans ma famille ou celle de ma femme. Cette plage horaire (entre 8 et 10h), elle est pour moi....rien que pour moi.
Je peux déambuler, dans les rues peu fréquentées à cette heure d'une petite ville près de Bordeaux (Carbon Blanc la belle endormie), avec mon coupe-vent bleu électrique et mon bonnet jaune.
Je croise quand même 2 ou 3 autres joggers sympathiques, me saluant au passage (ben oui on est pas à Toulouse là).
Et je peux me décharger, pendant ces moments là de beaucoup de choses qui m'encombrent. Je vide le trop-plein, je vidange, je filtre la machine...et surtout mon cerveau.
J'ai même découvert le Vidourle chez mon beau-frère, la semaine dernière, et ses berges (vers Marsillargues la majestueuse). Je n'ai pas croisé de coureurs à pied mais des chasseurs arborant leur magnifique casquette orange fluo. Du coup, moi avec mon bonnet jaune (offert par ma belle-mère) je me sentais bien, je pouvais me fondre dans le décor. Il me manquait juste le fusil.
Et le moment de grâce, je l'ai vécu lorsque ma petite nièce de 7 ans m'a accompagné, dans sa plus belle tenue de sport, très fière, sur 2 km. Une future runneuse, moi je vous le dis....
En tout cas j'ai quand même ressenti cette période de l'année, que j'appréhendais, de façon un peu plus détendue que d'habitude. Et Aujourd'hui, alors que je n'ai pas chaussé mes baskets depuis 2 jours, je commence à me sentir moins bien....
Ca n'est pas grave je sais que j'ai de belles courses en perspective ce mois-ci, dont je parlerai bientôt.
Demain, j'irai courir c'est sûr.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire